Interpellé fin novembre par une demandeuse d’emploi
senior, lors de l’émission « en direct avec les Français » diffusée
sur TF1, le président de la République avait annoncé le rétablissement d’une
allocation dédiée aux chômeurs de plus de 60 ans ayant cotisé toutes les
annuités requises pour obtenir une retraite à taux plein, mais n’ayant pas
encore atteint l’âge légal de départ fixé à 62 ans par le gouvernement Fillon
et ne disposant plus de droits à des allocations chômage.
Une telle mesure a vocation à réparer les dégâts causés par la suppression en 2011, par le ministre du Travail de Nicolas Sarkozy, Xavier Bertrand, de l’Allocation équivalent retraite (AER).
Ces deux dispositions, le report progressif à 62 ans de l’âge de départ à la retraite dans le cadre de la réforme de 2010, couplée avec la suppression de l’AER, ont placé de nombreux chômeurs séniors dans une situation particulièrement difficile.
La semaine dernière, le ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social François Rebsamen, répondant à une question du groupe socialiste, républicain et citoyen dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale, a annoncé que les chômeurs concernés se verront prochainement attribuer une « prime mensuelle de 300 euros » qui viendra s’ajouter à l’allocation spécifique de solidarité (ASS) ou au RSA socle.
Quelque 38 000 demandeurs d’emploi, nés en 1954 ou 1955, devraient bénéficier de cette mesure de solidarité.
Ainsi, en même temps que nous poursuivons l’indispensable redressement des comptes publics de notre pays, nous continuons de réparer les dégâts provoqués par les nombreuses décisions injustes prises durant les deux précédents quinquennats et nous nous efforçons de préparer la France aux défis de l’avenir.
Une telle mesure a vocation à réparer les dégâts causés par la suppression en 2011, par le ministre du Travail de Nicolas Sarkozy, Xavier Bertrand, de l’Allocation équivalent retraite (AER).
Ces deux dispositions, le report progressif à 62 ans de l’âge de départ à la retraite dans le cadre de la réforme de 2010, couplée avec la suppression de l’AER, ont placé de nombreux chômeurs séniors dans une situation particulièrement difficile.
La semaine dernière, le ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social François Rebsamen, répondant à une question du groupe socialiste, républicain et citoyen dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale, a annoncé que les chômeurs concernés se verront prochainement attribuer une « prime mensuelle de 300 euros » qui viendra s’ajouter à l’allocation spécifique de solidarité (ASS) ou au RSA socle.
Quelque 38 000 demandeurs d’emploi, nés en 1954 ou 1955, devraient bénéficier de cette mesure de solidarité.
Ainsi, en même temps que nous poursuivons l’indispensable redressement des comptes publics de notre pays, nous continuons de réparer les dégâts provoqués par les nombreuses décisions injustes prises durant les deux précédents quinquennats et nous nous efforçons de préparer la France aux défis de l’avenir.
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